T Voilà donc revenu le temps du « boulevard du Crime », de ces spectacles sanglants qui causaient l’effroi au début du XIXe siècle, en plein romantisme naissant… Souvenez-vous des Enfants du paradis, de Marcel Carné. Sauf que les héros de cette Dame blanche-là nous ressemblent, nous amusent et nous terrifient à la fois. Grâce à force effets spéciaux spectaculaires et autres surprises réussies… On s’amusera donc volontiers de cette histoire d’amour malheureuse, qui vire d’abord au thriller puis à l’épouvante. Les personnages des contes de fées d’hier à aujourd’hui n’y manquent pas, les femmes fatales non plus et les sorcières. Le divertissement est bon enfant.
Fabienne Pascaud / Octobre 2015 / Télérama
Fabienne Pascaud / Octobre 2015 / Télérama