L’intrigue se passe à Naples, où Coelio tente par tous les moyens d’approcher la jeune et ravissante Marianne, mariée au juge Claudio : sérénades ou lettres, rien n’y fait. Rempli de désespoir,
Il se confie à son ami Octave, l’espiègle cousin de Claudio. Peut-être pourra-t-il l’aider ? Peut-être pourra-t-il aller parler à Marianne en son nom ?
Mais la pieuse Marianne ne s’intéresse guère à Coelio, ni à aucun autre d’ailleurs, peu importe le nombre d’amoureux transis qui lui font la cour sous son balcon.
Mais cela pourrait bien changer...
La pièce de Musset est ici très originalement mise en scène par Sébastien Azzopardi : 3 voiles noirs font guise de
« fonds », et permettent ainsi aux acteurs d’effectuer autant d’allers-retours que l’histoire le nécessite. Le jeu de lumières
permet de voir les personnages glissés derrière le voile noir par transparence, évoquant ainsi aisément la rêverie ou les visions.
Les acteurs, tous musiciens et chanteurs, alternent avec une agréable facilité les moments musicaux avec les moments joués et chantés.
Malgré le drame de la pièce, le ton est souvent drôle, notamment grâce à la présence des personnages Octave et Tibia, qui apportent beaucoup de légèreté et de fantaisie.
La mise en scène et le jeu des acteurs servent plutôt bien la pièce de Musset, dont la prose est accessible à tous.
Au final, « Les caprices de Marianne » est une pièce à aller voir entre amis, pour passer un bon moment, mais aussi pour (re)découvrir la pièce de Musset...
Mais la pieuse Marianne ne s’intéresse guère à Coelio, ni à aucun autre d’ailleurs, peu importe le nombre d’amoureux transis qui lui font la cour sous son balcon.
Mais cela pourrait bien changer...
La pièce de Musset est ici très originalement mise en scène par Sébastien Azzopardi : 3 voiles noirs font guise de
« fonds », et permettent ainsi aux acteurs d’effectuer autant d’allers-retours que l’histoire le nécessite. Le jeu de lumières
permet de voir les personnages glissés derrière le voile noir par transparence, évoquant ainsi aisément la rêverie ou les visions.
Les acteurs, tous musiciens et chanteurs, alternent avec une agréable facilité les moments musicaux avec les moments joués et chantés.
Malgré le drame de la pièce, le ton est souvent drôle, notamment grâce à la présence des personnages Octave et Tibia, qui apportent beaucoup de légèreté et de fantaisie.
La mise en scène et le jeu des acteurs servent plutôt bien la pièce de Musset, dont la prose est accessible à tous.
Au final, « Les caprices de Marianne » est une pièce à aller voir entre amis, pour passer un bon moment, mais aussi pour (re)découvrir la pièce de Musset...
Du Mardi au Samedi à 21H30
Dimanche à 15H
Du 14 janvier 2009 au 31 mai 2009
Prix : de 10 à 30 €
Théâtre Le Lucernaire
53 rue Notre-Dame-des-Champs
75006 Paris
(Clémence Gonthier - février 2009)
Dimanche à 15H
Du 14 janvier 2009 au 31 mai 2009
Prix : de 10 à 30 €
Théâtre Le Lucernaire
53 rue Notre-Dame-des-Champs
75006 Paris
(Clémence Gonthier - février 2009)