de Bjarni Haukur THORSSON
Mise en scène par Sébastien AZZOPARDI assisté de Carole REPPEL BAELE
Avec Arthur JUGNOT
Adaptation : Dominique DESCHAMPS
Scénographie : Juliette AZZOPARDI assistée de Pauline GALLOT
Lumières : Thomas ROUXEL
Musiques : Romain TROUILLET
Videos : Mathias DELFAU
Jusqu’au 5 mai 2018
Au Le Splendid
Avoir un enfant, le thème a été abordé à maintes reprises avec plus ou moins de succès. Aussi après le désopilant Motherfucker, comment encore surprendre le public ? Comment faire rire autant qu’avait pu nous faire rire Florence FORESTI ? La réponse est dans Moi Papa ? qui explore le sujet du côté du père sans tomber la misogynie. Arthur JUGNOT y est excellent comme à son habitude et le trio Sébastien AZZOPARDI, Juliette AZZOPARDI et Arthur JUGNOT formé dans l’inoubliable La Dame Blanche continue de fonctionner. Les échanges ne doivent pas manquer d’être fusionnel lors des réunions de travail.
Pour ce qui est de la marque de fabrique des AZZOPARDI : un choc entre mise en scène, scénographie originale et interactivité, on est encore servi ! Quelle bonne idée d’amener sur un one man show du mapping. Aussi ne suffit-il pas d’avoir juste l’idée, encore faut-il que ce mapping soit savamment exploité et c’est le cas.
Mise en scène par Sébastien AZZOPARDI assisté de Carole REPPEL BAELE
Avec Arthur JUGNOT
Adaptation : Dominique DESCHAMPS
Scénographie : Juliette AZZOPARDI assistée de Pauline GALLOT
Lumières : Thomas ROUXEL
Musiques : Romain TROUILLET
Videos : Mathias DELFAU
Jusqu’au 5 mai 2018
Au Le Splendid
Avoir un enfant, le thème a été abordé à maintes reprises avec plus ou moins de succès. Aussi après le désopilant Motherfucker, comment encore surprendre le public ? Comment faire rire autant qu’avait pu nous faire rire Florence FORESTI ? La réponse est dans Moi Papa ? qui explore le sujet du côté du père sans tomber la misogynie. Arthur JUGNOT y est excellent comme à son habitude et le trio Sébastien AZZOPARDI, Juliette AZZOPARDI et Arthur JUGNOT formé dans l’inoubliable La Dame Blanche continue de fonctionner. Les échanges ne doivent pas manquer d’être fusionnel lors des réunions de travail.
Pour ce qui est de la marque de fabrique des AZZOPARDI : un choc entre mise en scène, scénographie originale et interactivité, on est encore servi ! Quelle bonne idée d’amener sur un one man show du mapping. Aussi ne suffit-il pas d’avoir juste l’idée, encore faut-il que ce mapping soit savamment exploité et c’est le cas.
Enfin, dans son rôle de futur père puis de père, il est évident qu’Arthur JUGNOT puise dans son expérience pour jouer ce père au bord de la crise de nerf, à la libido en deuil et en mal de sociabilité. C’est ce qui fait un bon comédien : être capable d’entrer dans le personnage sans tomber dans la caricature. Quoi de plus difficile de jouer son propre rôle plutôt que d’entrer dans un rôle de composition. Et mais au fait, le Spendid…. Ce n’est pas l’endroit où avait débuté papa avec Josiane BALASKO, Thierry LHERMITTE… Moi Papa ? ne serait aussi un passage de relais entre père ?
La paternité, c’est du délire !
Il n’y a pas d’école pour apprendre à être papa. Pas de prof pour expliquer comment changer les couches, préparer un biberon, gérer les nuits sans sommeil. Pas de formation pour les menus de sa chérie enceinte…
Devenir papa, c’est comme se retrouver dans la jungle sans guide et sans coupe-coupe !
C’est un voyage au bout de l’extrême. Ça reste malgré tout la plus belle des aventures…
Si seulement on pouvait dormir !
Février 2018 - Aurélien - Le monde du ciné
La paternité, c’est du délire !
Il n’y a pas d’école pour apprendre à être papa. Pas de prof pour expliquer comment changer les couches, préparer un biberon, gérer les nuits sans sommeil. Pas de formation pour les menus de sa chérie enceinte…
Devenir papa, c’est comme se retrouver dans la jungle sans guide et sans coupe-coupe !
C’est un voyage au bout de l’extrême. Ça reste malgré tout la plus belle des aventures…
Si seulement on pouvait dormir !
Février 2018 - Aurélien - Le monde du ciné
Arthur Jugnot MOI PAPA © Emilie Brouchon