Sacré Beaumarchais ! Le Comte Almaviva a repéré une jeune personne ravissante qu'un vieux barbon dissimule aux regards. Et, bien entendu, il en est tombé amoureux. Il a du goût, le Comte. D'autant qu'elle est futée, la mignonne. Aidée de son vieux complices Figaro, il sauvera la jeune fille des griffes de son mentor. La suite au prochain épisode.
CRITIQUE * *: Dans la trilogie, après Le Barbier, on le sait, en effet, et avant La Mère Coupable, il y a Le Mariage de Figaro, le chef-d'œuvre des chefs-d'œuvre. Le Barbier de Séville est une mise en bouche que monte parfaitement Sébastien Azzopardi, visitant bien la pièce, en fouillant tous les possibles. Si Elisa Sergent est particulièrement délicieuse, toute la troupe est à l'unisson. Il y avait , le soir où j'y étais, toute une grosse classe d'adolescents d'une quinzaine d'années, ils étaient sous le charme. Et moi presque autant qu'eux. Jean-Luc JEENER 07/04/04 et février 2005