Un tour de rire en 80 jours, au parc de Blossac
« Je vais te dire une bonne chose. » La phrase revient souvent dans la première partie du spectacle donné par cette troupe, mercredi soir à Blossac dans le cadre de Poitiers l’été. De quoi rire, même s’il n’a pas fallu 80 jours pour faire le tour du monde.
Le voyage est remis au goût du jour avec un certain humour. Les anachronismes se téléscopent. « Depuis que je paie l’ISF, ils m’ont sucré le RMI. » Phileas ne perd ni son flegme british, ni son latin. Passepartout reste franchouillard et à Bombay on a encore deux jours d’avance. Sauf que la princesse passe par là. Ah, l’amour traverse les continents.
D’Egypte en Inde, jusqu’en Chine, le voyage se poursuit à un rythme enlevé. « Ce soir on lui met le feu. » On n’a pas vu de ballon de foot mais des cascades de rires et un tonnerre d’applaudissements.
Un été à Poitiers pour un voyage arrêté. Le voyage a atteint son but.
10 AOUT 2007
« Je vais te dire une bonne chose. » La phrase revient souvent dans la première partie du spectacle donné par cette troupe, mercredi soir à Blossac dans le cadre de Poitiers l’été. De quoi rire, même s’il n’a pas fallu 80 jours pour faire le tour du monde.
Le voyage est remis au goût du jour avec un certain humour. Les anachronismes se téléscopent. « Depuis que je paie l’ISF, ils m’ont sucré le RMI. » Phileas ne perd ni son flegme british, ni son latin. Passepartout reste franchouillard et à Bombay on a encore deux jours d’avance. Sauf que la princesse passe par là. Ah, l’amour traverse les continents.
D’Egypte en Inde, jusqu’en Chine, le voyage se poursuit à un rythme enlevé. « Ce soir on lui met le feu. » On n’a pas vu de ballon de foot mais des cascades de rires et un tonnerre d’applaudissements.
Un été à Poitiers pour un voyage arrêté. Le voyage a atteint son but.
10 AOUT 2007