Emission du mercredi 30 septembre 2015, présentée par Karine Vergniol « GOUTS DE LUXE PARIS», chroniqueur théâtre Christophe Mory
Cliquez pour visionner : Emission diffusée sur BFM BUSINESS
Time code 13:17-16:40
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Karine Vergniol : Christophe, La dame blanche mais tous les enfants nous parlent de l’histoire de la Dame blanche. C’est ça ? c’est cette histoire d’horreur qui terrifie tout le monde ?
Christophe Mory : Alors on m’y a traîné. ! Parce que j’ai horreur d’avoir peur.
Karine Vergniol : On a déjà assez peur comme ça…
Christophe Mory : Absolument, donc je ne voulais pas y aller. Et puis finalement, on m’y a vraiment traîné. Et j’y suis allé. Et c’est un spectacle ré-jou-i-ssant !
Karine Vergniol : Non je vous crois pas alors vous savez on va regarder tout de suite l’extrait, et vous allez nous dire.
EXTRAIT “La dame Blanche / chambre bébé”
Karine Vergniol : C’est un peu stressant quand même cette petite musique qui s’invite dans cette chambre d’enfant en devenir, hein, puisqu’elle est enceinte.
Christophe Mory : Malo, donc Arthur Jugnot, est gendarme. Il a une maîtresse à qui il jure de quitter sa femme pour l’épouser. Et quand il arrive chez lui son épouse sort le champagne, en lui disant :“j’ai une grande nouvelle, je suis enceinte !”. Donc il ne va pas quitter sa femme et il dit à sa maîtresse qu’il ne quittera pas sa femme. Il l’emmène en voiture dans la forêt. Et puis la maîtresse sort, et il l’écrase, il la tue. Il planque le cadavre. Et il se retrouve, lui gendarme, obligé de faire l’enquête du meurtre qu’il a fait. Alors, est-ce que c’est du remords, est-ce que c’est du surnaturel, du fantastique, c’est à dire du surnaturel qui rentre dans le naturel…. C’est plein d’effets spéciaux. C’est un climat de grand stress comme vous le voyez à l’écran ces effets spéciaux qui font que …
Christophe Mory : Alors on m’y a traîné. ! Parce que j’ai horreur d’avoir peur.
Karine Vergniol : On a déjà assez peur comme ça…
Christophe Mory : Absolument, donc je ne voulais pas y aller. Et puis finalement, on m’y a vraiment traîné. Et j’y suis allé. Et c’est un spectacle ré-jou-i-ssant !
Karine Vergniol : Non je vous crois pas alors vous savez on va regarder tout de suite l’extrait, et vous allez nous dire.
EXTRAIT “La dame Blanche / chambre bébé”
Karine Vergniol : C’est un peu stressant quand même cette petite musique qui s’invite dans cette chambre d’enfant en devenir, hein, puisqu’elle est enceinte.
Christophe Mory : Malo, donc Arthur Jugnot, est gendarme. Il a une maîtresse à qui il jure de quitter sa femme pour l’épouser. Et quand il arrive chez lui son épouse sort le champagne, en lui disant :“j’ai une grande nouvelle, je suis enceinte !”. Donc il ne va pas quitter sa femme et il dit à sa maîtresse qu’il ne quittera pas sa femme. Il l’emmène en voiture dans la forêt. Et puis la maîtresse sort, et il l’écrase, il la tue. Il planque le cadavre. Et il se retrouve, lui gendarme, obligé de faire l’enquête du meurtre qu’il a fait. Alors, est-ce que c’est du remords, est-ce que c’est du surnaturel, du fantastique, c’est à dire du surnaturel qui rentre dans le naturel…. C’est plein d’effets spéciaux. C’est un climat de grand stress comme vous le voyez à l’écran ces effets spéciaux qui font que …
Karine Vergniol : D’un seul coup, des papiers volent...
Christophe Mory : Les papiers volent, il y a de grands souffles. On sent qu’elle est là, elle est tout le temps présente. Et, il y a ce cadavre qui est tout le temps présent. Alors la salle est pleine. Beaucoup de jeunes, de jeunes filles qui crient qui hurlent parce qu’il y a aussi un spectacle qui joue aussi avec la salle. Il y a un côté un peu train fantôme, comme ça. Il joue aussi avec la salle. Arthur Jugnot est épatant, il est rit absolument de tout. Il met un grand stress dans ce spectacle. Et en même temps, c’est un spectacle très humain. Parce qu’on sent vraiment ce type qui a fait une faute, qui a fauté et qui a sur la conscience, le crime de cette jeune femme qui était ravissante. Sera t-il pardonné par le fantôme… ?
Christophe Mory : Les papiers volent, il y a de grands souffles. On sent qu’elle est là, elle est tout le temps présente. Et, il y a ce cadavre qui est tout le temps présent. Alors la salle est pleine. Beaucoup de jeunes, de jeunes filles qui crient qui hurlent parce qu’il y a aussi un spectacle qui joue aussi avec la salle. Il y a un côté un peu train fantôme, comme ça. Il joue aussi avec la salle. Arthur Jugnot est épatant, il est rit absolument de tout. Il met un grand stress dans ce spectacle. Et en même temps, c’est un spectacle très humain. Parce qu’on sent vraiment ce type qui a fait une faute, qui a fauté et qui a sur la conscience, le crime de cette jeune femme qui était ravissante. Sera t-il pardonné par le fantôme… ?
Karine Vergniol : Jamais… point d’interrogation. Allez voir La dame blanche, au théâtre du Palais Royal. C’est jusqu’en décembre.
Christophe Mory : Et c’est un vrai spectacle. Et bravo encore aux directeurs du théâtre. Ils sont très forts cette année, les directeurs de théâtre privé.
Karine Vergniol : Ils osent !
Christophe Mory : Ils osent. Et Francis Nani… il y a quand même dix personnes sur scène, plus des effets spéciaux, plus des décors somptueux, plus des costumes formidables. Donc c’est vraiment un moment de détente, un moment de spectacle. En conclusion, on m’y a traîné, mais j’y retournerai !
Christophe Mory : Et c’est un vrai spectacle. Et bravo encore aux directeurs du théâtre. Ils sont très forts cette année, les directeurs de théâtre privé.
Karine Vergniol : Ils osent !
Christophe Mory : Ils osent. Et Francis Nani… il y a quand même dix personnes sur scène, plus des effets spéciaux, plus des décors somptueux, plus des costumes formidables. Donc c’est vraiment un moment de détente, un moment de spectacle. En conclusion, on m’y a traîné, mais j’y retournerai !
Christophe Mory / 30 Septembre 2015 / BFM Business